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12 mars 2007 1 12 /03 /mars /2007 15:00
Je teste et utilise des outils collaboratifs depuis plus de 6 ans. Je n'avais encore jamais mis la main sur un outil aussi facile d'utilisation et intuitif que "Documents et Tableurs" de chez Google. Je n'ai pas d'actions Google (et je le regrette amèrement), pourtant force est de reconnaître les atouts extraordinaires de ce nouvel outil que je me suis approprié depuis 1 mois...

Jetez un oeil à cette adresse et revenez lire mon article...

Un tableur en 2 lignes, bof qu'y a-t-il de nouveau ?

La nouveauté est spectaculaire de simplicité : je peux désormais créer des documents et tableurs dans l'environnement Google, ou en chargeant des feuilles présentes dans mon ordinateur (au format OpenOffice ou Microsoft), et les partager en lecture ou en lecture/modification avec les personnes que j'ai choisies. Et tout cela se fait de manière intuitive et conforme à mon environnement de travail habituel. Le travail collaboratif se simplifie et s'enrichit instantanément. Depuis 1 mois, je crée et partage donc des documents avec des clients ou partenaires, stupéfaits de l'efficacité de l'outil.

Questions dans la salle ?
"La sécurité, la sécurité, la sécurité !"

Je l'attendais, il y a toujours l'angoisse de la sécurité des données. Ma position la-dessus est très simple :

a - Google n'a aucun intérêt à se faire prendre en défaut sur la sécurité des données qu'il héberge (ce n'est jamais bon pour la réputation et le business - cela dit, il faut que les "politiques" continuent de s'assurer que les informations stockées ne passent pas en de mauvaises mains);
b - Toute donnée informatisée est susceptible d'être piratée (vous posez-vous la question de la sécurité des réseaux par lesquels transitent vos courriels ?);
c - je ne suis ni un terroriste, ni ne manipule des données sensibles (si tel était le cas, j'éviterais tous les moyens de communication moderne, et me contenterais d'en rester aux échanges oraux, de préférence au 12ème sous-sol des catacombes, et à l'intérieur d'une cage de Faraday - on n'est jamais trop prudent);
d - les bénéfices du travail collaboratif comparés aux risques de piratage sont incomparables;
e - ma/votre compétence ne réside dans les données que vous archivez ici ou là (et qui deviennent obsolète à une vitesse supersonique), mais dans ma/vos capacités d'innovation, d'animation, d'analyse, de dynamisme, i tutti quanti.

Bref, bienvenue à Google Documents et Tableurs dans une boite à outils de travail collaboratifs. Allez vite tester et donnez moi votre avis...
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4 novembre 2006 6 04 /11 /novembre /2006 13:05
En 1985, je suis tombé amoureux du Macintosh. J'ai même fait un court détour professionnel par Apple en 1989. Puis, pendant près de 4 ans chez Gemplus, j'ai résisté dans un monde Microsoft, avec un Mac arraché de haute lutte à mon management.

Un jour, un collaborateur me dit : "Windows 95, c'est comme le Mac et patati et patata". Mon Mac étant vieillissant, seul sur ma planête mais tout de même autonome et jamais planté avec mon ordinateur, je rejoignis à reculons le monde Microsoft. Pour constater, bien entendu que Windows 95 avait en effet piqué quelques bonnes idées de Mac OS 85, mais n'arrivait pas à la cheville du confort pour l'utilisateur de l'Apple 95. Je pourrais écrire des paragraphes entiers sur la liste des reproches que je fais depuis 10 ans à Windows. Il existe une nombreuse littérature à ce sujet, pour ma part, je pense qu'il s'agit du plus grand hold-up de l'humanité. Vous connaissez sans doute l'amusante anecdote que je mets sous cet article, et qui illustre avec humour ma façon de penser.

Cet été, en changeant d'ordinateur, j'ai envisagé de reprendre un Mac. Mais plusieurs interlocuteurs d'Apple ou de ses distributeurs ont été maladroits, et m'ont finalement découragé de faire la bascule inverse en revenant vers mes premières amours informatique.

Comment reprendre sa liberté ? Les logiciels libres, oui bien sur. Le souci reste l'interopérabilité avec mes clients... J'ai depuis des mois fait le choix de Firefox plutôt qu'Internet Explorer. Un petit pas vers l'affranchissement. J'ai essayé à plusieurs reprises d'utiliser OpenOffice. Et puis je me suis arrété : trop de peur de la marche à franchir pour se réapproprier un nouvel environnement, inquiétudes de compatibilité, etc... Hors, j'ai constaté depuis quelques semaines que les liens de mon fichier pdf sur le coaching en ligne ne fonctionnaient pas. Triturant mon document Word et le logiciel libre pdf creator, je ne m'en sortais pas. Alors ce matin, j'ai chargé de nouveau OpenOffice, récupéré le document coaching en ligne, et enregistré mon document directement en pdf. La bonne surprise est au rendez-vous : tous les liens fonctionnent désormais. Et cerise sur le gateau, le même document "coaching en ligne" (pas une virgule de différence) pèse 98Ko au format Word, 28Ko au format OpenOffice !

Si pour beaucoup d'entre mes lecteurs, la bascule vers OpenOffice est une évidence, je suspecte que pour beaucoup d'autres, elle représente une sorte de saut dans l'inconnu. Quand à moi, je vais m'atteler à vaincre mes peurs et briser, par étape, l'étreinte que Microsoft a serrée avec habileté autour de mon outil de travail.

Et puis relisez le savoureux papier ci-dessous dont j'ignore l'auteur...



Microsoft contre Général Motors
Lors d'un salon informatique (ComDex), Bill Gates a comparé l'industrie
informatique avec l'industrie automobile pour en arriver à la conclusion
suivante :

  "Si General Motors (GM) avait eu la même progression technologique que
l'industrie informatique, nous conduirions aujourd'hui des automobiles
coûtant 25 dollars et qui parcouraient 1000 kilomètres avec 1 litre
d'essence."

  Voici ce que fut la réponse du Président de General Motors, lors d'une
conférence de presse :

  "Si General Motors avait développé sa technologique comme Microsoft, les
voitures que nous conduirions aujourd'hui auraient les propriétés suivantes
:

  1. Votre voiture aurait un accident sans raison compréhensible 2 fois par
jour.

  2. Chaque fois que les lignes blanches seraient repeintes, il faudrait
racheter une nouvelle voiture.

  3. Occasionnellement, une auto quitterait l'autoroute sans raison connue.
Il faudrait simplement l'accepter, redémarrer l'auto et reprendre la route.

  4. Parfois, lors de manoeuvres particulières, comme par exemple prendre
une courbe à gauche, l'auto irait simplement tout droit puis refuserait de
repartir. Pour cela, il faudrait procéder à un échange standard du moteur.

  5. Les automobiles ne seraient livrées qu'avec un seul siège, car il
faudrait choisir entre Car98 et CarNT. Chaque siège supplémentaire devrait
être commandé à l'unité.

  6. Macintosh développerait des voitures fonctionnant à l'énergie solaire,
fiable, cinq fois plus rapides et deux fois plus légères. Mais elles ne
pourraient emprunter que 5% des routes.

  7. Les témoins d'huile, de température et de batterie seraient remplacés
par un unique témoin : "Défaillance Générale".

  8. Les sièges exigeraient que chaque passager ait la même taille et le
même poids.

  9. L'airbag demanderait "Etes-vous sûr ?" avant de s'ouvrir.

  10. Occasionnellement, la condamnation centralisée de la voiture se
bloquerait. Vous ne pourriez alors la réouvrir qu'au moyen d'une astuce,
comme, par exemple, simultanément tirer la poignée de porte, tourner la clé
dans la serrure et d'une autre main attraper l'antenne radio.

  11. General Motors vous forcerait à acheter, avec chaque voiture, un jeu
de cartes routières Deluxe de la société Rand McNally (depuis peu filiale
de GM), même si vous ne souhaiteriez pas ou n'auriez pas besoin de ces
cartes. Au cas ou vous ne prendriez pas cette option, la voiture roulerait
50% moins vite (ou plus). A cause de cela GM deviendrait une cible
fréquente de procès.

  12. A chaque fois que GM sortirait un nouveau modèle, chaque conducteur
devrait réapprendre à conduire, car aucune des commandes ne fonctionnerait
exactement comme dans les modèles précédent.

  13. Enfin, il faudrait appuyer sur le bouton "Démarrer" pour stopper le
moteur."
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6 septembre 2006 3 06 /09 /septembre /2006 14:30
Récemment consulté pour préparer et animer un séminaire en forme de remue-méninges (brainstorming), j'enquétai préalablement pour comprendre les attentes de mon client.

Hum, hum, me suis-je dit, il y aura 20 contributeurs au remue-méninges, ces sont des hommes - et oui, pas une seule femme :-( - de marketing, de recherche et développement, de management, ils sont dans plusieurs sites européens, et tout doit se faire en anglais.

De plus l'attente du boss est que le plus de questions possibles soient analysées préalablement au séminaire lui-même, pour renforcer la densité des débats.

Tous les ingrédients donc pour qu'on se trouve rapidement avec un échange exponentiel de courriels. Sans attendre, et sans demander au service informatique - je fis la supposition que cette étape m'aurait fait perdre trop de temps - je créai un wiki pour aider à la préparation du remue-méninges.

Un wiki, c'est quoi au fait ? Le meilleur exemple connu est wikipedia, cette gigantesque encyclopédie alimentée et régulée gratuitement en ligne par les internautes. En quelques mots, un wiki permet à un groupe
ouvert ou privé, de créer un site dynamique, en ligne, de manière collaborative. Encore peu utilisé dans les entreprises, je suis convaincu que cet outil va devenir majeur pour de nombreux projets dans les prochaines années.

Je choisis un wiki gratuit - Schtuff -, disponible sur internet, en anglais, et présentant quelques caractéristiques de gestion de sécurité simples et efficaces. Je demandai à chaque participant de s'inscrire puis de poster les questions à traiter pendant le séminaire. Puis réparties par thèmes, les participants pouvaient contribuer en ligne, et donner les différents arguments de chaque thème, composant ainsi une bonne matière première pour le séminaire.

Le bilan fut moins spectaculaire que je ne l'escomptais. En fait, en dépit des qualités intrinséques des contributeurs, la référence au mail est restée le premier réflexe. Certes, quelques-uns ont posté leur questions et contributions directement, mais une bonne partie m'a envoyé questions et contributions que j'ai ensuite publiées. Cependant, tous avaient accès immédiatement, en ligne, aux documents de préparation qui peu à peu se structuraient. Si je fus un peu encombré de courriels, je réussis discrètement à constituer pour mon client une mine de pistes de réflexion qui donnèrent au séminaire un contenu de forte qualité.

Je pense que s'approprier les outils de wiki est une prochaine priorité des chefs de projets, managers et animateurs...
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3 mai 2006 3 03 /05 /mai /2006 16:44

Après la spectaculaire vision du monde par satellite de google earth, je ne résiste pas à vous pousser à essayez la carte routière du monde publiée par google : http://maps.google.fr/

Etonnant non ?

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24 septembre 2005 6 24 /09 /septembre /2005 00:00

Vous n'êtes pas encore connecté à Viaduc ou à LinkedIn. Shame on you :-)

Désormais, l'employabilité se gère pendant toute sa carrière et pas seulement dans son entreprise. Des outils comme Viaduc -réseau très français- ou LinkedIn -nettement plus international- sont des toiles de réseau d'affaires en train de se densifier à toute vitesse. Dèjà des millions d'inscrits.

Ces réseaux sont des moyens solides de rester en contact et de développer son carnet d'adresse indépendamment des évolutions professionnelles, des changements de régions, des licenciements, des réorganisations, etc... Ils servent aussi pour retrouver des amis perdus, rechercher des nouvelles affaires, faciliter des rapprochements. Bref, il faut y être.

Et pour rester employable, il est primordial de continuer à faire son marketing personnel, et donc d'y mettre en permanence ses coordonnées à jour.

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21 septembre 2005 3 21 /09 /septembre /2005 00:00

Depuis quelques jours, les espaces collaboratifs de Mayetic sont passés à 2 Giga de mémoire gratuite par espace. Sacré coup de pouce pour l'utilisation de cet outil qui reste solide et qui cumule pas mal de qualités (sécurité, version synchronisée off-line, ...)...

J'avais écrit un article qui a suscité des commentaires très instuctifs à ce sujet. Je vous encourage à y jeter de nouveau un coup d'oeil. L'article s'appelait: un site collaboratif dans la matinée

Après cela, allez rendre visite à Mayetic 1, c'est la moindre des choses.

Je vous parlerai prochainement des wiki, outil sur lequel je suis en train de faire d'intéressantes expérimentations...

1 - note de l'auteur: je n'ai pas d'actions chez Mayetic, mais je continue de trouver que pour un service gratuit, la qualité est au rendez-vous.

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6 juin 2005 1 06 /06 /juin /2005 00:00

Comme de nombreuses TPE, la question de la sauvegarde des données est cruciale dans mon activité. De la clé USB à la copie sur le PC " famille ", du disque dur externe à l'utilisation d'outils collaboratifs, je cherchais la solution simple, efficace, pas chère.

En surfant sur la toile, j'ai analysé différentes offres. J'ai choisi celle d'une jeune SARL française Neobe (http://www.neobe.com/). Pour 2,5 euros par mois, j'ai un espace de 1Go disponible. On peut bien sur monter facilement en capacité mémoire vers plusieurs dizaines de giga octet.

 

 

 

Le petit utilitaire pour planifier les sauvegardes est d'une déconcertante facilité d'usage (çà, j'aime !!!), et je ne crains désormais plus l'incendie de mon bureau, ni le vol de mes outils informatique… Chaque nuit, toutes mes données sont sauvegardées, pendant que, comme dirait Fernand Raynaud, je dooooooors.

 

La TPE peut désormais vivre tranquille comme une grande…

 

 
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5 janvier 2005 3 05 /01 /janvier /2005 00:00

Organisation personnelle

Que ce soit en français, en anglais ou dans n'importe quelle langue, la recherche sur internet avec un outil comme Google remplace le dictionnaire. Désormais, quand j'ai un doute sur un mot anglais, ou la définition d'un mot français que je n'use pas couramment, je tape ce mot sur Google. Je récupère des quantités d'angles de compréhension de ce mot, et en plus des photos. Il y a même des suggestions d'orthographe !

Super facile et efficace...

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13 décembre 2004 1 13 /12 /décembre /2004 00:00

En quittant le monde de l'entreprise pour me mettre "à mon compte", j'ai tout de suite opté pour le portage salarial. Pourquoi ?

  1. 1 - Tout ce que j'entendais alentours sur la création d'entreprise en France n'était guère encourageant. "C'est compliqué, çà coûte cher, c'est risqué" étaient les commentaires les plus fréquents.
  2. 2 - En démarrant une nouvelle activité, mon premier objectif était de me concentrer sur la recherche de clients, et la création/clarification de mon offre.
  3. 3 - Le système du PARE mis en place par les ASSEDIC permet de monter en puissance dans son activité commerciale, sans perdre de manière abrupte ses avantages d'assurance chômage.

Après un peu plus d'un an d'activité, je suis très satisfait de mon choix concernant le portage salarial. La simplicité administrative est évidente, j'ai pu me consacrer à mon activité de développement, et pour ce qui concerne les ASSEDIC, le système marche très bien et permet en effet de monter en puissance. Le gain de temps est très conséquent, j'ai pu valider ma motivation sur mon projet, vérifier que les clients étaient satisfaits, et je n'ai pas pris le risque de créer une entreprise.

J'ai choisi Links comme société de portage après avoir analysé une demi-douzaine de possibilités. Mes critères de choix étaient:

- la commission de portage (dégressifs en fonction du chiffre d'affaires chez Links);
- la modernité/facilité d'utilisation des outils en ligne;
- la capacité à réagir vite sur mon premier contrat;
- la disponibilité de bureaux de passage à Paris.

Je n'ai pas été déçu. Je n'ai jamais rencontré physiquement un être humain chez Links (je suspecte cependant qu'il y en a, en tout cas, j'ai reçu mes salaires et mes remboursements de frais :-)). Tout s'est passé par téléphone, courriel, site internet. Pour un consultant en province, il était important d'avoir un partenaire moderne dans ces registres. Je n'ai finalement jamais utilisé les bureaux parisiens, puisque je vais négocier et travailler chez les clients.

Le seul hic et qui n'est pas le fait des sociétés de portage, est le regard inquisiteur de l'administration française. On me presse de justifier mon temps de travail - je résiste d'ailleurs à le faire. Je devrais théoriquement remplir des formulaires de temps de travail, qui ne correspondraient évidemment à aucune réalité. Hypocrisie d'un système qui pense que la comptabilité crée de la valeur alors qu'elle est à son service.

En tout cas le portage est une solution moderne et efficace, espérons que nos élites ne décident pas de la casser en mille morceaux pour de mauvaises raisons.

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8 décembre 2004 3 08 /12 /décembre /2004 00:00

Anecdote vécue

Lors d'une mission que j'ai acceptée dans mon passé de salarié, j'ai mis en place une équipe virtuelle avec des acteurs réels (des humains quoi!), que j'avais recrutés à Singapour, aux Etats-Unis, en Suisse, en Angleterre et en France. Evidemment, j'avais besoin d'outils collaboratifs pour partager les outils de l'équipe.

J'appelai donc le service informatique de l'entreprise. Extrait:

"Laurent: j'ai besoin d'un outil d'un outil collaboratif pour ma mission...
L'informaticien: il faut que tu écrives un business plan pour décrire ton besoin...
Laurent (déçu): ah, et ensuite...
L'informaticien: ensuite, nous analysons la demande, étudions les options possibles. Tu auras une réponse dans 3 semaines.
Laurent (super déçu): et le site je l'aurai quand ?
L'informaticien: çà, je ne peux pas te répondre, cela dépend des résultats de l'analyse préalable, bla, bla, bla...
Laurent (retrouvant tout son courage): on ne s'est pas bien compris,
j'ai besoin d'un site collaboratif avant la fin de la matinée !
L'informaticien (vociférant): mais c'est impossible, tu ne connais pas nos contraintes, et patati et patata..."

Nous nous quittâmes...

10 minutes plus tard -croyez-moi, je ne me vante pas, d'ailleurs pour pourrez essayer une de ces jours- j'avais un site collaboratif gratuit, très sécurisé, accessible du monde entier sur internet. J'utilise régulièrement des sites collaboratifs pour les projets que je lance. Je n'en ai jamais payé un. Je n'ai jamais été piraté. Je n'ai jamais mis plus de 10 minutes à créer un tel site. Allez visiter Mayetic vous verrez...

Le monde informatique a changé. Nous ne sommes plus dans les années 70 où il était impossible de s'en sortir sans expert. Et beaucoup de choses sont gratuites, solides, sécurisées. Il manque souvent ce zeste d'investissement personnel des managers pour comprendre ce qui a changé, et comprendre que cela peut révolutionner leur méthode de travail.

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Depuis 2004, je partage des expériences, anecdotes, outils de management : optimiser son temps, manager son équipe, manager son chef, diriger un projet, travailler en intelligence collective. Je propose une démarche inspirée de la vie professionnelle et de la vie au sens large. J'espère que vous y trouvez de l'inspiration pour devenir le manager que vous rêvez d'avoir. Bonnes lectures...

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